Les jardins de Chaumont-sur-Loire
Le Festival International des Jardins de Chaumont –sur-Loire
Un festival des jardins ! Des jardins, une fête. Les 26 parcelles offertes aux concepteurs se métamorphosent chaque année selon le thème proposé.
Chacune d’elles est un territoire autonome avec son récit, son évocation, son charme, ses inventions et, très souvent, on peut parler de sa poésie. Toutes ensemble, elles tiennent un propos, offrent une sollicitation au promeneur. « Jardins de collection, jardins extraordinaires » (2015), « Jardins des péchés capitaux » (2014), « Sensations » (2013), « Délices et délires » (2012), « Avenir et biodiversité » (2011), « Corps et âmes » (2010)... Les thèmes constituent tout une exploration d’approches possibles de la question des jardins, ils sont surtout un prétexte à s’abandonner à des promenades excitantes, enchantées.
Depuis peu, le Domaine propose aussi la visite du parc des « Prés du Goualoup ». Cet endroit offre notamment la visite de jardins issus des lointaines cultures asiatiques : « Carré et rond », « Hualu, Ermitage sur Loire », « Le jardin des nuées qui s’attardent », « Le jardin miroir », « Le jardin coréen », « Le jardin japonais (qui contient l'inoubliable Archipel de Shodo Suzuki (voir ci-dessous) ». Tout adjectif semblerait faible, épuisé pour évoquer ces lieux. Disons que s’y trouver est un moment de vie intense. Et puis encore, le parc historique du château accueille des œuvres pérennes ou temporaires. Puissantes, sensibles, légères, subtiles, enivrantes, des œuvres de Tadashi Kawamata, Patrick Dougherty, Rainer Gross, Vincent Barré, Giussepe Penone ou Christian Lapie, pour ne citer que ceux là qui me touchent particulièrement, côtoient les cèdres centenaires. Je visite ces jardins chaque année depuis 1997. J’en reviens toujours nourri de sensations et d’images fabuleuses. De quoi attendre patiemment les prochaines découvertes, la prochaine fête.
Depuis peu, le Domaine propose aussi la visite du parc des « Prés du Goualoup ». Cet endroit offre notamment la visite de jardins issus des lointaines cultures asiatiques : « Carré et rond », « Hualu, Ermitage sur Loire », « Le jardin des nuées qui s’attardent », « Le jardin miroir », « Le jardin coréen », « Le jardin japonais (qui contient l'inoubliable Archipel de Shodo Suzuki (voir ci-dessous) ». Tout adjectif semblerait faible, épuisé pour évoquer ces lieux. Disons que s’y trouver est un moment de vie intense.
Et puis encore, le parc historique du château accueille des œuvres pérennes ou temporaires. Puissantes, sensibles, légères, subtiles, enivrantes, des œuvres de Tadashi Kawamata, Patrick Dougherty, Rainer Gross, Vincent Barré, Giussepe Penone ou Christian Lapie, pour ne citer que ceux là qui me touchent particulièrement, côtoient les cèdres centenaires. Je visite ces jardins chaque année depuis 1997. J’en reviens toujours nourri de sensations et d’images fabuleuses. De quoi attendre patiemment les prochaines découvertes, la prochaine fête.